Les indicateurs - Metatrader
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votre guide de forex et investissement
Comment apprendre le forex ?
Vous pouvez déjà commencer par suivre les tutoriels en ligne. Sur ce site, vous avez des cours sur le Forex, Metatrader, et le MQL4. Ensuite, pour vous familiariser avec le marché, il est primordial d' ouvrir un compte démo avec argent fictif et de tester vos stratégies. Voir le comparatif des brokers.
Le Forex, est-ce une arnaque ?
Absolument pas ! Si vous vous posez cette question, c' est que vous avez encore beaucoup à apprendre. Bien entendu, aucun n' investissement n' est sans risque, c' est pourquoi des gens y perdent de l' argent. Mais le forex n' est absolument pas un jeu de casino et d' arnaqueurs.
Peut-on vivre du Forex ?
Oui, bien sûr, il n' y a pas de raison. Par contre, pour le trading traditionnel, il faudra disposer d' un capital de départ conséquent. Pour le trading automatique, un capital de départ très modeste suffit.
Comment faire du trading automatique ?
Pour cela, il faudra programmer vous-même vos robots traders ( qu' on apelle Expert Advisor ). Voici un tutoriel gratuit et à la portée de tous pour plus d' explications.
Est-ce que le Forex est risqué ?
Oui, c' est par nature un marché risqué. Peu de gens placent des ordres sur le long terme. Le forex est donc potentiellement dangereux mais en contrepartie très rémunérateur.
Si un trader gagne de l' argent, est-ce que forcement un autre trader en perd au moins autant ?
Non. Déjà, les traders ne sont qu' une petite minorité à spéculer sur le forex. Ce sont surtout les grandes banques et institutions financières qui font varier les cours. De plus, le monde de la bourse est extrêmement complexe, de l' argent peut d' ailleurs se créer ex nihilo ( bulle ). En résumé, le forex n' est pas un jeu de casino, on ne gagne jamais de l' argent venant de la poche d' un autre.
Faut-il privilégier l' analyse économique, ou l' analyse technique ?
Sur le forex, l' analyse technique a clairement la préférence des traders. Il faut dire que sur le court terme, la situation économique n' a pas vraiment d' importance...
Est-il obligatoire de passer par un broker pour investir sur le Forex ?
Oui, à moins de créer une banque.
Comment se paient les brokers ?
Les brokers ( courtiers ) gagnent de l' argent à chaque ordre que vous passez. Il y a toujours une petite différence entre le prix d' achat, et le prix de vente. Cela s' appelle le spread, et c' est sur cette différence que se rémunèrent les brokers. Le spread vaut au maximum 4 pips, c' est à dire 0,0004 % de la somme investie. Ces frais ridicules est un argument choc souvent repris pour vanter le forex.
Quel est le meilleur broker ?
Assurément, c' est celui qui répondra le mieux à vos attentes. Vous êtes tout à fait libre d' en tester plusieurs et de comparer. Voir le comparatif des brokers.
Qu' est-ce qu' une plateforme de trading ?
Une plateforme de trading est tout simplement l' interface par laquelle vous pouvez passer vos ordres. Cela peut être un logiciel ( comme Metatrader ), ou un site web sécurisé. Chaque broker propose au moins une plateforme de trading.
Qu' est-ce que le Two-Way Price ?
C' est simplement lorsque le prix de l' offre et celui de la demande sont différents. Quand il y a Two-Way Price, il y a donc un spread.
Pourquoi le yuan chinois n' est pas coté sur le forex ?
Le gouvernement communiste chinois contrôle l' économie du pays. Sa politique budgétaire ( sous-évaluation excessive ) serait contraire à un libre-échange de sa monnaie.
Symbole | Monnaie |
ARS | Peso argentin |
GRD | Drachme grec |
PLN | Zloty polonais |
AUD | Dollar australien |
HKD | Dollar de Hong-Kong |
SEK | Couronne suédoise |
BRL | Real brésilienne |
HUF | Forint hongrois |
SGD | Dollar de Singapour |
CAD | Dollar canadien |
ILS | Shekel israélien |
SKK | Couronne slovaque |
CHF | Franc suisse |
INR | Roupie indienne |
THB | Baht thaïlandais |
CZK | Couronne tchèque |
JPY | Yen japonais |
TRY | Lire turque |
DKK | Couronne danoise |
MXN | Peso mexicain |
USD | Dollar des USA |
EEK | Couronne estonienne |
MYR | Ringgit malais |
ZAR | Rand sud-africain |
EUR | Euro |
NOK | Couronne norvégienne |
GBP | Livre sterling anglaise |
NZD | Dollar néo-zélandais |
L'internaute qui voit une publicité sur un site n'a pas montré un intérêt spécifique pour le produit en question, contrairement à celui faisant une recherche sur un moteur. Il faut donc attirer son attention de manière plus forte.
Une certaine personnalisation des annonces est possible © Google |
Pour cela, l'annonceur doit susciter la demande. "L'accroche est importante et fonctionnera mieux avec une tournure interrogative ou alors en étant descriptive", indique Yohann Dupasquier. Autre possibilité, annoncer une opération promotionnelle à durée limitée et interpeller l'internaute pour qu'il en profite.
Le choix de la place des annonces reprend les mêmes règles que pour les bannières. Les plus visibles se trouvent en haut des pages, de préférence à droite. L'idéal est aussi d'apparaître au plus près du contenu. Quant aux formats, Google accepte les publicité "texte", mais aussi sous forme de bannières et de vidéos.
Pour optimiser ses campagnes, l'anonceur devra tester systématiquement plusieurs modèles de bannières et d'annonces texte. Attention cependant à s'assurer que les sites visés acceptent le format choisi. Pour les campagnes par mots-clés, Olivier Mosca conseille de privilégier le format texte, plus largement accepté.
Annoncer sur le réseau AdSense nécéssite donc de prendre en compte certaines spécificités. Mais c'est aussi très complémentaire des liens sponsorisés sur moteur de recherche. "Il s'agit d'un marketing de l'offre, alors que la recherche est un marketing de la demande", explique Yohann Dupasquier.
Une campagne sur AdSense peut déclencher une envie chez un internaute |
Une complémentarité dans le cycle d'achat intéressante pour un annonceur. Car une campagne sur AdSense peut déclencher une envie chez un internaute, qui plus tard cherchera peut-être le produit en question sur un moteur de recherche.
Selon une étude de Atlas Institute, associer une campagne sur le réseau partenaire avec une campagne "recherche" augmente de 22 % les taux de conversion.
AdSense permet donc des campagnes de notoriété à des prix relativement bas. Intéressant pour le lancement d'un petit acteur. L'ensemble des sites du réseau atteindrait une couverture de 79 % en France, selon Google. Mais l'annonceur peut aussi utiliser ce réseau pour des campagnes fonctionnant davantage "à la permformance", en choisissant une tarification par clic (CPC) ou par action (CPA), et non au CPM (coût pour mille affichage).
Comment répartir son budget entre le moteur et le réseau ? Yohann Dupasquier conseille un partage 70/30, avec un écart encore plus favorable au "search" pour les marchands en ligne pure players.
L'annonceur peut également cibler la diffusion de ses publicités par emplacement. Deux types de sélection s'offrent à lui. D'une part selon les catégories de sites (par exemple "finance/assurance") puis par sous-catégories. D'autre part, directement par sites et même par pages de sites.
Sélectionner par catégorie est moins fastidieux que site par site, mais l'idéal reste toujours d'affiner le plus possible le ciblage. Comme pour les mots-clés, l'annonceur peut exclure des sites précis. Ceux par exemple qui vendent des articles concurrents ou ceux dont la qualité porrrait entâcher une image de marque.
Coupler les ciblages par emplacements et par mots-clés |
Par ailleurs, Yohann Dupasquier conseille aux vendeurs de produits de niche de chercher les sites supports "à la main", pour plus d'efficacité et maîtriser ses coûts.
Une bonne solution consiste alors à coupler le ciblage par catégorie avec celui par mot-clé. "C'est utile pour les gros sites média qui disposent de plusieurs sous-catégories. Car cela permet d'éviter d'être diffusé sur l'ensemble de ces catégories (par exemple un produit destiné aux hommes diffusé dans la section féminine)", explique Olivier Mosca.
Google met des outils de mesure à disposition pour identifier et exclure les sites qui s'avèrent moins performants que d'autres.
En attendant le ciblage comportemental basé sur l'historique de navigation des internautes, que Google vient d'annoncer et qui sera progressivement proposé, deux systèmes de ciblage existent : par contenu et par emplacement.
© Google |
Par contenu, l'annonceur définit les mots-clés que l'algorithme Google utilisera pour choisir les sites où les annonces apparaîtront. Yohann Dupasquier conseille de limiter le nombre de mots-clés entre 5 et 15.
Mais attention, il est important de construire ses groupes de mots-clés par thématique. "AdSense ne fonctionne plus par similarité de mots-clés, mais par l'extraction de la thématique globale visée", indique Olivier Mosca.
Contrairement aux mots-clés pour des liens sponsorisés destinés à apparaître dans les pages de résultats des moteurs, il n'est pas utile de saisir toutes les déclinaisons d'un mot ou d'une expression, en particulier avec des fautes d'orthographe. L'annonceur n'a pas à se mettre à la place de l'internaute sur ce point.
Comme pour la "recherche", Google permet d'exclure certains mots-clés. Cette fonction se révèle très utile sur le réseau de contenu, afin d'éviter qu'une publicité ne soit associée à un contenu inapproprié. "Une compagnie aérienne par exemple a tout intérêt à exclure l'expression 'crash d'avion', pour ne pas apparaître à côté d'un article évoquant une catastrophe aérienne", conseille Yohann Dupasquier.
En matière de liens sponsorisés Google, beaucoup d'annonceurs ne connaissent que les pages de résultats des moteurs. D'autres s'imaginent que le réseau de sites partenaires (AdSense) ne constitue qu'un prolongement de ces pages de résultats. C'est une erreur.
Faire paraître ses annonces sur ce réseau demande une réflexion distincte. "Il ne faut jamais activer une même campagne "contenu" (sur les sites AdSense) et "recherche" (sur le moteur de recherche)", assure Yohann Dupasquier, directeur associé de l'agence Keyline. Pourquoi ? D'abord "parce qu'il n'y a pas de contrôle sur la part de budget investi en recherche et en adsense. Mieux vaut créer une campagne distincte avec un budget propre", explique Olivier Mosca, directeur du Search Marketing de l'agence NetBooster.
Exemple de campagne sur le réseau AdSense © Google |
Ensuite, parce qu'il est contre-productif de dupliquer les campagnes de recherche sur le réseau de sites. Une erreur courante faite par des annonceurs qui ignorent le comportement des internautes. Ceux qui voient des annonces sur un site n'ont pas fait la démarche de rechercher un produit ou un service, comme sur un moteur, mais s'y intéressent potentiellement.
Un annonceur qui plaque ses annonces "moteur" sur les sites partenaires obtient donc des taux de clic inférieurs. D'autant que le "quality score", c'est-à-dire la pertinence d'une annonce mesurée par Google, en souffre, l'annonce risquant alors de ne pas être bien placée.
Au moment de planifier sa campagne sur le réseau AdSense, l'annonceur devra utiliser des enchères séparées de celles de la "recherche". Car les coûts au clic y sont plus faibles, en raison d'annonceurs moins nombreux.
Par ailleurs, annoncer efficacement sur AdSense s'avère plus délicat que sur le moteur de recherche. Cela est donc réservé aux sociétés ayant une solide expérience des liens sponsorisés, à moins bien sûr de passer par une agence.
Pour nombre de sites, les annonces Adsense prennent souvent la place de formats display quand l'inventaire reste invendu. D'autres sites définissent quelques espaces supplémentaires uniquement dédiés à Adsense. Quoi qu'il en soit, il faut éviter que les deux cumulés n'envahissent la page. On peut raisonnablement se limiter à deux espaces par page, sachant que Google les limite à neuf (trois classiques, trois thématiques et trois de parrainage).
| Isabelle Bordry | |
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Il existe une exception cependant : les longues pages de contenus qui nécessitent que l'internaute scrolle. C'est le cas par exemple pour les blogs, les forums ou les sites de petites annonces. On peut utiliser davantage d'ensembles d'annonces afin de rendre le dispositif Adsense plus performant. De même, si les formats employés sont petits (boutons de 125x125 pixels), ils sont plus aisément multipliables sur une page sans excès pour le visiteur.
En outre, Google constate que les formats les plus performants sont le grand rectangle (336x280 pixels), le rectangle moyen (300x250) et le skyscraper large (160x600), tous plaçant les annonces les unes au dessus des autres. "Après discussions avec d'autres éditeurs, j'ai la conviction qu'il vaut mieux mettre les liens les uns en dessous des autres pour les rendre plus visibles, prévient Isabelle Bordry, et c'est un axe d'amélioration pour Badiliz.fr ". Pourtant, de manière générale, Google préconise des formats d'annonces plus larges que hauts, qui faciliteraient la lecture pour les internautes.
Quant au nombre d'annonces, inutile de noyer votre visiteur. Selon un sondage réalisé en mai 2009 par le Journal du Net, les éditeurs privilégient en moyenne entre un et cinq liens par page.
Sur Badiliz.fr, les bandeaux ne contiennent pour le moment que deux annonces. "Je préfère privilégier les petites annonces du site et non celles d'Adsense même si elles sont complémentaires, explique Isabelle Bordry. Mais je n'exclue pas d'augmenter le nombre de liens par bloc. Plus il y en a, plus il y a d'occasions de cliquer. Mais il ne faut pas tomber dans le piège d'en mettre beaucoup sur une page." Bref, si les liens Adsense sont complémentaires aux petites annonces de Badiliz.fr, ils ne peuvent pas les remplacer.
Lorsque l'on rejoint le réseau de sites éditeurs d'Asense, la première question à se poser est : où mettre des liens commerciaux Google sur son site. On pourrait être tenté d'en mettre sur toutes les pages pour maximiser ses revenus mais ce serrait sans doute une erreur. En effet, pour être performants, ces liens doivent avant tout répondre aux besoins des internautes qui consultent le site et leur rendre service.
Pour Isabelle Bordry, PDG de Badiliz.fr, un site de petites annonces, il s'agit de monétiser toutes les pages de son site, notamment par défaut là où l'inventaire display est resté invendu. A la nuance près qu'elle trouve que "les liens Adsense fonctionnent moins bien sur les contenus du type conseils sur Badiliz.fr. Nous jugeons plus pertinent de positionner les liens Adsense sur les pages de petites annonces, une sorte d'offre complémentaire pour nos visiteurs."
Capture d'écran du site 24h00.fr montrant un skyscraper d'annonces Adsense dans la rubrique Magazine. © DR |
Selon Stéphane Bouillet , directeur général adjoint chez 24h00.fr, un site de e-commerce et ventes privées, au contraire "il peut être dangereux pour un site de e-commerce vendant des produits de marques d'utiliser des liens Adsense car il se peut que ceux-ci fassent la promotion d'un site de contrefaçon par exemple, ou encore de perdre les internautes en mêlant petites annonces et liens commerciaux". C'est pourquoi 24h00.fr limite l'utilisation d'Adsense à sa rubrique Magazine constituée d'un contenu éditorial et non commercial.
Bref, le choix des pages varie d'un site à l'autre et doit faire l'objet d'un arbitrage stratégique de la part de l'éditeur. Et, dans tous les cas, les liens Adsense doivent pouvoir s'appuyer sur un contenu à la fois riche et ciblé. Ainsi, il y a quelques jours à peine, le site 24h00.fr en possédait également sur sa page d'accueil. "Adsense doit être intégré dans un contenu spécifique et de qualité, ce qui est difficile sur la page d'accueil". En effet, celle-ci fait le lien avec les diverses rubriques et donc des sujets divers qui ne permettant pas un ciblage correct pour les annonces. "Il est alors difficile de contrôler la pertinence des annonces délivrées et les visiteurs cliquent moins qu'ailleurs."
Il est souvent utile de vérifier que son contenu n’est pas en contradiction avec les règles d’Adsense (TOS: Terms of Service). Et on verra sur ce post que le nombre de blogs qui violent les TOS adsense sans même s’en douter est important. Dans la majorité c’est le contenu qui enfreint les règles Adsense.
Je profite donc de ce post pour revoir les types de contenu qui ne sont pas éligibles au programme Adsense .
Contenu Incitant la commercialisation de médicaments.
Il est important de souligner que les blogs traitant des médicaments sont eux parfaitement éligible, Google Adsense sachant sans soucis différencier les deux. Voir l’exemple de Doctissimo .Il faut faire attention aux publicités de certaines régies ou l’on affiche des incitation à l’achat de médicament contrefaits .
Site de vente de produits de contrefaçon
Que ce soit des montres ou de la maroquinerie ou tout autre produit contrefait, Google Adsense ne permet pas l’affichage de ses pubs sur ce type de site .
Site de jeu de hasard ou de casino
Désolé pas de Jeu de roulette sur votre blog, ou encore de jeu de casino, certaines catégories de site de voyages peuvent en parler relatant l’intérêt principal d’une ville par exemple LasVegas mais de contenu dédié au casino
Contenu relatif aux armes et aux munitions
exception des sites sur les jeux de guerres comme le paintball mais c’est vraiment du cas par cas
Contenu sur les boissons alcoolisées.
Telle que la bière ou les alcools mais le vin est une exception (on se demande pourquoi?), les sites informatifs sont permis hors commercialisation : oubliez votre idée de blog sur l’achat à distance de bière de ruoms.
Le tabac et ses dérivés.
Pas de surprise la aussi, mais l’anti-tabac est bien sur permis (exemple ici)
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Contenu incitant au piratage.
No comments
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Contenu Adulte
Pas de site Olé Olé pour bénéficier d’Adsense.
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Contenu sur les drogues ou les stupéfiants
Ne sont pas concernés les sites d’information sur les méfaits de drogue.
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Contenu Raciste ou Violent :
Clairement interdit sur Google Adsense. attention au régies dont vous ne maitrisez pas les annonces.
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Contenu de rémunération d’action
Type recherche rémunérée, surf rémunéré, clic rémunéré, etc…
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Contenu MFA ou Made for Adsense :
Contenu dont l’unique but est d’afficher et faire cliquer le visiteur sur des pubs adsense, sans aucune utilité ni de plus value éditoriale.
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Contenu incitant à la manipulation du Pagerank
pas de site incitant à tricher pour augmenter le Pagerank Google.
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Evidemment, il y aurait encore beaucoup d’autres sites à lister mais l’essentiel est dit et surtout gardez à l’esprit que chaque blog est particulier et surtout si vous avez une catégorie qui enfreint les règles google Adsense, c’est bien tout le site qui peut être exclu et pas seulement la catégorie.
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